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mercredi 3 avril 2019

Mémoire ouvrière N° 3

Hangars & usines lieux d’inspiration, de transpiration et d’expiration !

Agnès Varda : j’aime la beauté des choses abandonnées !

Ma môme, ell' joue pas les starlettes
Ell' met pas des lunettes
De souris
Ell' pos' pas pour les magasines
Ell' travaille en usine
A Ivry !

 


 


 


 


 


 


 

Coke en stock.

Dans ces coins au bord du Fleuve, ne brillent que des tags de diamants, noir comme du charbon. 

mardi 2 avril 2019

Mémoire ouvrière N°2

Les rues, impasses de l’avenir !

Mon point d’atterrissage, vol plané en vélo,  c’est le 6 rue Galilée à Ivry sur Seine. Au passage, je signale que des rues de la baignade, il y en a quasi une dans chaque commune qui borde la Seine. On s’y baignait autrefois : Quand on s’promène au bord l’eau, comme tout est beau ! * Et pas que pour taquiner le goujon. Dans cette rue, une vieille plaque indique le chemin de halage à 0k500.  S’annonce le trimard ! J’ai repéré dans ce coin pas mal de démolitions, d’usines, de hangars, d’entrepôts, des pâtés de maisons ouvrières, des hôtels (… hôtels du Nord !), etc. 


La mémoire ouvrière retiendra le nom de Marcel Sallnave, parmi tant d’autres dans ces quartiers ouvriers, bistrotier, communiste mais qui ne finira pas ses jours au bord de l’eau mais au Block n° 20 de l’hôpital d’Auschwitz-I !
Revenons à la rue Galilée : dans cette rue, une somptueuse petite église. 

* Du lundi jusqu'au samedi
Pour gagner des radis
Quand on fait sans entrain
Son boulot quotidien
Subi le propriétaire
Le percepteur, la boulangère
Et trimbalé sa vie de chien
Le dimanche après-midi
Et qu'on file à Ivry !


Quand on s’promène au bord l’eau, comme tout est beau !


 

Les voitures garées pour le repos des ferrailleurs qui se mettent au vert au 6 rue Galilée.
 


 


 





lundi 1 avril 2019

Mémoire ouvrière N°1

Là où commencent les impasses.

On commencera ainsi, à la lisère de la ville, dans la toute proche banlieue parisienne.
Banlieue Est !
Ivry sur Seine.
Parce que les plus beaux endroits parisiens sont en Banlieue !

Et comme le disait si bien Agnès Varda :  j’aime la beauté des choses abandonnées !

Les terrains vagues

Qu’ont jamais vu Tintin ni Milou...

La banlieue reste encore le chant du peuple !

Là bas en lisière de la ville
A cent mille bornes de Saint Cloud
Où les rues ressemblent au Nil
Où les chiens ressemblent à des loups
Y a des gamins qui jouent aux billes
Sur des trottoirs grêlés de trous
Au pied d’immeubles qui vacillent
Qu’ont jamais vu Tintin ni Milou

Là-bas en lisière de Paname
Là où commencent les impasses
Parfois y a des bagnoles qui crament
La nuit des gyrophares qui passent
Les terrains ont du vague à l’âme
Et des illusions qui s’effacent !

De mémoire, une chanson de Dikès !


La Belle Equipe !




jeudi 28 mars 2019

A force de bouffer des briques ...

... on devient réfractaire !

Des abdos durs comme la brique. 
Ou comme une bibliothèque ?!

lundi 25 mars 2019

Elle ne pense qu'à ça !






dimanche 24 mars 2019

Dans les prisons de Nantes ...

NILS L-L est un jeune peintre.
Ici, en la galerie Triphasé, il dessine en direct au fusain des nuits dans les rues de Nantes. 



J'aime cette façon de construire la rue !
Ci-dessus, après trente heures de travail. 
Dans un peu plus de soixante heures ce fusain de deux mètres sur trois sera terminé !
Il fait aussi des nu(e)s en colère ...


Et voici une petite aquarelle qu'on m'offrira un de ces quatre ... 


mercredi 20 mars 2019

Le poids du genre !

GROS MÂLE

GROSSE MALLE

Les essences essentielles

En 68 l'essence était essentielle pour partir en vacances
Aujourd'hui elle est essentielle pour aller travailler !

mardi 12 mars 2019

Le saviez-vous ?

Dieu est l'inventeur de l'interupteur
C'est le premier qui dit et fit : 
Fiat lux et facta est lux !

lundi 11 mars 2019

Gabrielle, tu brûles mon esprit, ton amour étrangle ma vie !

Christian Rossi doit avoir une cinquantaine d'années, au jour du jour du jour d'aujourd'hui. 
Et même d'aunuitd'hui ! 
Je me suis demandé ce qu'il était devenu ? 
Et ce que ses parents étaient devenus ?
Et même ce qu'étaient devenues leurs relations ?!
Après le drame dont ils ont été les protagonistes. 
Christian Rossi, lycéen, était l"amoureux de Grabrielle Russier, agrégée de lettres. 
Elle s'est suicidée en 1969, accusée de détournement de mineur. 
Les parents de Christian étaient de gauche. 
Enseignants. 
Ils ont porté plainte contre Gabrielle Russier. 
La majorité était à l'âge de vingt et un ans. 
J'ai recherché ce livre. 
Puis il a sombré corps et bien dans les inondations de juin 2016. 
Je ne crois pas que je le rachèterai.
Parce que ce n'est pas en lisant ce livre que je trouverai réponse à mes questions sur le devenir de gens que je ne connais pas. 
Je me souviens de François Simon qui joue horriblement très bien le rôle du père de Christian dans le film Mourir d'aimer de Cayatte
Mais je mélange peut-être mes souvenirs avec le petit rôle qu'il jouait dans le film La Salamandre ...
Va-t-on savoir !



lundi 25 février 2019

La Maison du Docteur Edwardes



vendredi 22 février 2019

Salon de l'agriculture

NOS BEAUX VINS
Attention, c'est vache le pinard, faut pas abuser !