Je ne sais quoi ...

 

... et presque rien !

GREVE DES TRANSPORTS A PARIS

Vue par Alex 

Qui a fait l'coup ?!

Sonnette à suspects 
 

Les mains en l'air !

C'est haram en diable !

Satanés roumis, c'est pas halal ce truc !
Par exemple pour les petites filles il y a mieux  :  

A cette époque, lorsque la capote était déchirée, c'était pas grave !

A cette époque, lorsque la capote était déchirée, c'était pas grave !

A cette époque, lorsque la capote était déchirée, c'était pas grave !

A cette époque, lorsque la capote était déchirée, c'était pas grave !

Les larmes du crocodile

 

... et le seigneur regarda notre travail. 

Cela lui plut beaucoup. 

Il demanda à voir notre salaire, se retourna et se mit à pleurer.

RETRAITES AU FLAMBEAU !

MUSICHIEN

 

Et le client qui n'a peut-être
Ni Dieu ni maître ...

Berceuse

Mamadou m'a dit ...

Une moustique !

Ce ne sont que les femelles qui nous piquent, 

Les mâles préférant de loin le nectar des fleurs ! 

• Les moustiques préfèrent les femmes.
• Les moustiques préfèrent les blondes.
• Ils sont attirés par la peau de ceux qui mangent beaucoup de sucre.
• Ils aiment les personnes du groupe sanguin O+.
• Les personnes obèses se font davantage piquer.
• Les moustiques aiment les bananes. Ceux qui en mangent régulièrement seraient des proies faciles.
• Les moustiques détestent l'ail. Les grands consommateurs sont plus protégés.

CLOSED

JE YODLE,TU YODLES, IL YODLE, NOUS YODELONS, VOUS YODLEZ, ILS YODLENT !

LA-LA LA- ï TOU !

LA-LA LA- ï TOU !

LA-LA LA- ï TOU !

ALLAH-OU AKBAR !

 

LITANIE

Moi je dis : ma bite.

Parce qu'elle m'appartient.

Et ça connote un peu mataf' !

La classe !

Donc pour les autres :

Une bite, c'est pour les marins.

Une queue, pour les éleveurs de bétail ou pour les resquilleurs professionnels ...

Une pine, c'est pour les voleurs d'essence qui siphonnent, tels Pipine et Dédé.

Un vit, ça fait un peu ecclésiaste !

Un dard ça fait entomologiste

Un chibre, c'est pour les arabes, prononcer ch-b-r et ça signifie l'empan ; ils ont la mesure du raisonnable !

Braquemard, pour les apprentis casseurs

Un membre, pour les associatifs

Un engin pour les travailleurs du BTP

une quéquette pour les petits enfants

un zizi pour les plus petits

un zob pour les zèbres

un nœud pour les glands

un outil pour les bricolos

un Priape pour les philosophes

un instrument pour les géomètres

un paf pour les Pifous (amateurs de Pif le Chien).

Une biroute pour les automobilistes

un poireau pour le maraîcher

un machin pour Machine

un mandrin pour l'outilleur-tourneur

une machine pour le contremaître

un gourdin pour le rustre

une gaule pour le français moyen 

Vuillemin

Un bout, pour le visionnaire

Un popaul pour Mimile

une cheville pour un charpentier,

une saucisse pour le charcutier

un goupillon pour le prêtre 

Berth

une affaire pour le commerçant

une colonne pour Torricelli

un bâton pour le bouvier

une bistouquette pour le mec fragile

une quille pour un bidasse

une asperge pour un argenteuillais

un manche pour le maladroit

un boudin pour Michelin et Goodyear

un cigare à moustache pour dieu le père

une tringle pour le marionnettiste

un asticot pour le pêcheur

un pieu pour le terrassier (lorsqu'il s'endort ... )

un cierge pour l'enfant de cœur

un argument pour le baveux

une sucette pour Annie

Un zobi pour les plus démunis

un robinet pour le plombier

une lance pour le pompier

un jouet pour l'innocent

une tête chercheuse pour le CNRS

une chipolata pour le gendarme

un oiseau pour le poète

un pilon pour Mamamoudia

un organe pour le médecin légiste

un objet pour l'antiquaire

un pal pour le médiéviste

une nouille pour les chinois

une chose pour un donneur de leçons

un mât pour le provençal

une allumette pour une petite fille

une banane pour un singe

un navet pour un cinéphile

un sceptre pour Otokar

un appareil pour le sourd ( à force de se br .. on devient ... )

un braque pour un dingo

un attribut pour le grammairien

une tige pour l’horticulteur

une matraque pour le CRS

une cheminée pour le fumiste

un guignol pour les lyonnais

une troisième jambe pour le handicapé

un os à moelle pour Pierre Dac

une zézette pour ta-mère

un sifflet pour un flic

un doigt du milieu pour pour un malotru

un chauve pour un coiffeur

un marteau piqueur pour un pivert

un jonc pour un dîner au bord de l'eau

une virgule en attendant mieux

un serpent pour l’Évangile

un os pour Henri IV

Un col roulé pour le minet

un verge pour le père fouettard

un phallus pour le mycologue

l'objet du délit pour le Procureur

Un barreau pour Serge Guainsbourg

Enfin et pour terminer cette litanie sans fin :

Dans le neuf-cube, on a l'tube et on s'en bat les couilles.

Normal, quand on ha-bite en banlieue (Boby Lapointe!).

Woulà tout l'intérêt d'un blog sur internet ! 

Pr. Choron

Le racisme est un problème de Blancs

«Quand des Blancs feuillettent un magazine, surfent sur Internet ou zappent à la télévision, il ne leur semble jamais étrange de voir des gens qui leur ressemblent en position d'autorité. Les affirmations positives de la blanchité sont tellement répandues que le Blanc moyen ne les remarque même pas. Être blanc, c'est être humain ; être blanc, c'est universel. Je ne le sais que trop, car je ne suis pas blanche.» Après l'élection de Barack Obama, certains ont proclamé l'avènement d'une société post-raciale. Avec une liberté de ton décapante, Reni Eddo-Lodge montre ici combien nous en sommes loin. Elle analyse les méfaits d'un racisme structurel persistant d'autant plus sournois qu'il avance masqué. Car le racisme va bien au-delà de la discrimination ou de l'injure personnelle. Il imprègne le récit historique, l'imaginaire collectif, les institutions et les entreprises. Pourquoi les Blancs pensent-ils ne pas avoir d'identité raciale? Pourquoi la simple idée d'un James Bond noir fait-elle scandale? Comment une fillette noire en vient-elle à se persuader qu'en grandissant, elle deviendra blanche? Le racisme n'est pas une question de valeur morale, mais d'exercice du pouvoir. Entretenir la légende d'une égalité universelle n'aide en rien. Au contraire. Car, pour déconstruire le racisme, il faut commencer par reconnaître l'étendue du privilège blanc.

MEMOIRE 66-67

 

Vieira Da Silva 

 Détails

VIEIERA DA SILVA, encore !

"Sans titre" 1955