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lundi 18 septembre 2017
Pêcheur de nuages !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mercredi 13 septembre 2017
LA REPRISE SE CONFIRME...
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mardi 12 septembre 2017
Manif du 12 sep 17 : 50 000 manifestant(e)s à Paris
votre serviteur : fainéant, cynique et extrême !
les forains en force !
ils représentent 35 000 familles ...
Mélenchonistes
Elus de la France Insoumise dont Eric Coquerel
Camarades forains
très beaux nounours !
Un monde de Princes de la rue
Mobilisés par leur chef : Marcel Campion
les APL réduites
les emplois aidés supprimés
les AVS (aides pour la vie scolaire, pour handis) sinistrés
Les naïfs : comité de soutien aux personnes en taule pour avoir brûlé une voiture de Police !
Macron Rupin-des-Bois !
UNE MANIF UNITAIRE MALGRE FO CFDT et CFTC...
Même les mickeys y sont présents...
PCF antonien
(Est-ce une scission ou une secte ?!)
Y avait du monde, à Paris 50 000
Et une fée-Néante
Une collègue !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
jeudi 7 septembre 2017
PEUPLE DE FRANCE !
Ceux
que l’on ignore.
Il
existe un délit de sales-gueules. Il est circonscrit à des pratiques
policières illégales, contrôles au
faciès répétés, ou faux témoignages racistes, c’est un noir, lorsqu’on
n’a rien vu. Mais quand les sales
gueules correspondent à une multitude de gens amochés par leurs conditions
d’existence, il n’y a pas délit, évidemment, il y a surprise.
Ce
que j’ai vu …
J’ai
« fait » un vide-grenier, en France, à douze kilomètres d’une petite
sous-préfecture. Si tant est que le terme de sous-préfecture ait encore un sens
de nos jours, à une époque qui n’a plus ou pas encore son-Courteline.
A douze kilomètres de cette bourgade, se trouvait un sens unique. Un
vide-grenier, organisé par les sapeurs-pompiers du village, s’étalait sur un
terrain de football. J’y ai stationné de six heures à dix-huit heures, soit douze
heures d’affilées. Je n’y ai vu déambuler que des sales gueules !
Là,
j’ai vu défiler tout un peuple de gueules cassées, pas les
« Gueules-Cassées » de la Grande Guerre, celle de 14-18, mais celles
de gens terriblement abîmés par des conditions d’existence difficiles. Les
Gueules Cassées de l’économie. Jeunes et moins jeunes. Des gueules endommagées
par l’exercice du travail. Et aussi par le chômage, la précarité. Rongées par
l’incertitude du lendemain, par l’absence d’avenir, de perspective. J’emploi le mot « gueule » dans le
sens de visage évocateur, suggestif, comme on dit, c’est une belle gueule. Ou bien, il a d'la gueule.
Gueules
et corps cassés par les conditions économiques et culturelles de notre temps
présent. Des gens qui avaient à la fois des visages ingrats, marqués par les
soucis quotidiens, par les travers de la vie, mais aussi avec des visages et
des corps estropiés, avec force de béquilles, de bandages et de cicatrices. Un
peu d’alcoolisme sûrement, mais un alcoolisme ayant uniquement pour fonction
d’atténuer des souffrances sociales récurrentes.
Le
commerce qui se traitait sur ce marché était principalement un échange de
chiffons, (layettes, pantalons, T-shirts, draps) contre cinquante centimes
d’euros voire parfois un euro pour du cuir. Quelques objets utilitaires
changeaient de mains pour un maximum de dix euros. On ne peut pas dire que cela
ressemblait à de la pauvreté, ni au dénuement qui suinte des sans-domiciles
qu’on rencontre dans les grandes villes.
A
mon sens, et je peux me tromper, mais ces gueules-cassées-là ne se
rencontrent jamais dans les grands centres urbains. On pourrait parler d’un
nouveau-lumpenprolétariat. Le terme marxiste convient très bien. Cette société paraissait
composée premièrement de gens déclassés, vivant dans des impasses
existentielles, d’individus emprisonnés malgré eux dans des stéréotypes accablants.
Travailleurs, qualifiés, chômeurs, mais ni voyous, ni mendiants, ni voleurs.
Gens honnêtes, parce que nous ne
sommes passés de l’ère violente du haillon (lumpen) à celle plus soft du chiffon.
Dans
notre société des grandes villes, ces personnes sont invisibles. J’ai l’heur’
de penser qu’elles ne votent probablement pas pour le Front National, parti populiste
et surtout, raciste. Ce serait trop facile qu’elles le fassent, trop caricatural.
Parmi tous ces chalands, d’une grande diversité, chacun pivotait autour d’un
point commun : l’absence de beauté, de celle qu’on voit dans nos
villes et qui n’est pas publicitaire. Et
aussi, l’impression de la douleur sur la peau, tatouage de cette douleur, de
cette douleur qui masque tout et recouvre jusqu’aux sourires.
Défilant
devant les stands de broutilles et de pacotilles, tout ce monde, dont la seule
motivation semblait être celle de vivre coûte que coûte, restait d’une
politesse inouïe, faisait preuve d’une gentillesse incroyable et ne se
plaignait de rien. Pas de joie réelle ni de tristesse non plus. Pas de hargne,
ni de révolte. Une retenue dans la parole, une plaisanterie lâchée mais vite
reprise pour ne pas trop rire.
Si
ce peuple n’est pas le fer-de-lance de la nation en marche selon les visions de
notre actuel Président de la République, il est sûrement le manche
indispensable à ce fer-de-lance !
Si
jamais je leur ressemble, combien sommes-nous ?!
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
jeudi 31 août 2017
Le monde sur un mur...
C'est tout un monde !
Je possède la collection complète du journal Le Monde,
De 1944 à 2000.
Certes, tout le monde s'en fout !
Je vends cette collection, en tout ou en partie...
Si je ne vends pas, je ne vais pas en faire un monde.
Et si je dois foutre Le Monde à la benne, ça ne changera pas la face du monde.
En ce bas monde, tout le monde s'en fout !
Là : quatrième trimestre 1948.
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mercredi 30 août 2017
Ils flottent !
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vendredi 18 août 2017
La vague
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mercredi 12 juillet 2017
Salauds d'pauvres !
Dans la
Silicon Valley, les dirigeants à l'origine des tablettes, des iPhone, ou des
jeux vidéo, laissent à peine leurs enfants toucher à un smartphone. C'est ce
que souligne un article du New York Times. Steve Jobs, le célèbre fondateur
d'Apple, ne fait pas exception. "Nous limitons l'utilisation des nouvelles
technologies par nos enfants", a affirmé le célèbre Américain au
journaliste Nick Bilton, en 2010.
A la question "vos enfants aiment-ils l'iPad ? ", il avait d'ailleurs déclaré : "Ils ne l'ont jamais utilisé". Même constat dans la famille d'Evan Williams, un des fondateurs de Twitter. Chez lui, ses deux enfants n'ont pas de tablette et sont encouragés à lire des livres en papier, détaille le quotidien.
Privilégier les activités culturelles était également le credo du fondateur d'Apple. "Chaque soir, pendant le dîner, dans la cuisine, Steve Jobs discutait littérature, d'histoire et d'une variété de choses," a rapporté Walter Isaacson, l'auteur de "Steve Jobs". "Personne n'a jamais sorti un iPad ou un ordinateur. Les enfants ne semblent pas accros à tous les périphériques ", ajoute l'auteur.
Des écoles anti-technologies
Selon Nick Bilton, la plupart des pionniers de la technologie limitent l'utilisation de ces gadgets par leurs enfants à 30 minutes par jour pendant la semaine, alors que d'autres ne tolèrent l'usage de la technologie que pendant le week-end.
Une méfiance vis à vis de ces nouvelles technologies qui se retrouve jusque dans le choix d'école. A en croire le New York Times, de nombreux dirigeants et salariés deGoogle, Yahoo, Apple et eBay, envoient leurs enfants dans un établissement Waldorf, dont la pédagogie est particulièrement anti-technologique. Et pour cause, selon la direction, tablettes et smartphone représentent une menace pour la créativité, le comportement social et la concentration des élèves.
A la question "vos enfants aiment-ils l'iPad ? ", il avait d'ailleurs déclaré : "Ils ne l'ont jamais utilisé". Même constat dans la famille d'Evan Williams, un des fondateurs de Twitter. Chez lui, ses deux enfants n'ont pas de tablette et sont encouragés à lire des livres en papier, détaille le quotidien.
Privilégier les activités culturelles était également le credo du fondateur d'Apple. "Chaque soir, pendant le dîner, dans la cuisine, Steve Jobs discutait littérature, d'histoire et d'une variété de choses," a rapporté Walter Isaacson, l'auteur de "Steve Jobs". "Personne n'a jamais sorti un iPad ou un ordinateur. Les enfants ne semblent pas accros à tous les périphériques ", ajoute l'auteur.
Des écoles anti-technologies
Selon Nick Bilton, la plupart des pionniers de la technologie limitent l'utilisation de ces gadgets par leurs enfants à 30 minutes par jour pendant la semaine, alors que d'autres ne tolèrent l'usage de la technologie que pendant le week-end.
Une méfiance vis à vis de ces nouvelles technologies qui se retrouve jusque dans le choix d'école. A en croire le New York Times, de nombreux dirigeants et salariés deGoogle, Yahoo, Apple et eBay, envoient leurs enfants dans un établissement Waldorf, dont la pédagogie est particulièrement anti-technologique. Et pour cause, selon la direction, tablettes et smartphone représentent une menace pour la créativité, le comportement social et la concentration des élèves.
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
Nicolas Hulot, dit Y-a-d'la-Joie
Avec trois barrettes, s'il vous you plait !
Je sais qu'il a été financé (ou fiancé?!) par EDF, VINCI et L'OREAL.
Paraît qu'il est tiersmondiste et anticapitaliste !
Qu'il ait des idées sur le démantèlement nucléaire
Me fait tordre de rire.
Un arriviste pyromane chez les pompiers ne peut pas faire de mal !
Claude Allègre qui est aussi abruti que moi
En matière de mauvaise foi
Se fendait déjà la gueule :
- Un mec qui veut obliger les gens à rouler en vélo et qui circule en hélico !
Chevalier des Arts et des Lettres !
Claude Allègre encore :
- je suis effrayé par son inculture littéraire et historique
Claude Allègre, d'accord, ce vieux con n'est pas un référence
Mais quitte à rigoler
Autant pisser de rire.
Il y en a encore d'autres comme lui au gouvernement ?!
Des noms, j'ai besoin de me défouler !
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vendredi 7 juillet 2017
Allons z'enfants de la Partie !
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jeudi 6 juillet 2017
Envie d'oubli.
Photo piquée à Calyste (et transformée) : http://calystee.blogspot.fr/2017/07/cest-vous.html
La rue, malgré la signalétique au sol qui permet de la traverser, semble infranchissable.
A première vue, il y a le parallèle entre l'homme et ses deux béquilles en bois et l'immeuble et ses arbres (en bois !)
Les vieux arbres droits comme les poteaux électriques du trottoir, comme les piliers de la façade de l'immeuble. Que de lignes droites et verticales.
Excepté la ligne courbe de cet homme en passe de choir, ligne attirée vers le sol.
Et les deux jeunes arbres, pousses verdoyantes, courbés vers la lumière, près de se dresser vers le ciel.
L'homme est une construction.
L'immeuble, sans doute une administration, est inatteignable pour l'homme.
Toute la violence sociale est là : l'institution fermée, inabordable aux hommes.
Le bois de l'arbre, le bois de la béquille taillée dans le bois d'un arbre.
La vie difficile.
Et ces deux béquilles d'un autre âge, de celles qu'on place sous les aisselles, elles ont perdu leurs rondelles en caoutchouc et elles sonnent la fin, comme une signature au bas d'un codicille.
Enfin, cruelle ironie du sort : cette pissotoire pour les chiens, en bas à droite sur le trottoir...
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mercredi 5 juillet 2017
MAMAN !
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vendredi 30 juin 2017
Manipuler
Ceci est un piétement pour retenir les palissades qui bornent les travaux publics.
Il pèse 26 kgs.
Un jeune en porte deux, un à chaque main.
Soit 52 kgs.
Ses bras sont tendus vers le sol, ses épaules descendent de trois centimètres.
Il parcourt dix mètres et les repose délicatement au sol.
Un homme plus âgé, la cinquantaine, n'en porte qu'un seul.
Son corps est déséquilibré par le poids.
Il parcourt, en se balançant, cinq mètres et laisse tomber ce poids.
Il s'étire ensuite et frotte son épaule douloureuse.
Je regarde la manière dont a été conçu ce piétement.
Il possède différents trous pour amarrer la palissade.
Selon différents angles.
Et aussi deux poignées pour le soulever à la main.
Tout est prévu pour être manipuler (à la main!).
Tant qu'il y a une main-d'oeuvre bon marché,
Il semble inutile d'imaginer la transformation de ce poids lourd.
Pourtant il est très facile de penser y mettre des encoches
Pour que l'objet soit transportable avec un système de levier
Monté sur des roues.
Un système très simple et bon marché.
Mais tant que la main-d'oeuvre n'est pas chère...
Et que la classe ouvrière n'existe plus !
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jeudi 29 juin 2017
J'ai été surpris par le graphisme et les couleurs de cette affiche.
J'ai eu l'impression de revenir en arrière, dans les années vingt
Ou, sous le Front Populaire en 36 !
Je ne sais pas s'il y a un parti pris rétro ?
Un délire de typographe ?!
Et puis le terme MARCHE, me rappelle trop Macron et son mouvement
MARCHE est une expression désuète, avec un coté franchouillard....
Baguette-Saucisson-Litron de rouge, B.S.L. !
Tout cela sent les ligues de vertus,
Alors que cette reconnaissance de la sexualité de chacun est tout à fait moderne.
Colorée et vivante !
Là, ça ressemble à une marche mortuaire, un enterrement...
Une époque révolue...
Bizarre.
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jeudi 22 juin 2017
Chez les curés,
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