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mercredi 12 juillet 2017

Salauds d'pauvres !

Dans la Silicon Valley, les dirigeants à l'origine des tablettes, des iPhone, ou des jeux vidéo, laissent à peine leurs enfants toucher à un smartphone. C'est ce que souligne un article du New York Times. Steve Jobs, le célèbre fondateur d'Apple, ne fait pas exception. "Nous limitons l'utilisation des nouvelles technologies par nos enfants", a affirmé le célèbre Américain au journaliste Nick Bilton, en 2010.
A la question "vos enfants aiment-ils l'iPad ? ", il avait d'ailleurs déclaré : "Ils ne l'ont jamais utilisé". Même constat dans la famille d'Evan Williams, un des fondateurs de Twitter. Chez lui, ses deux enfants n'ont pas de tablette et sont encouragés à lire des livres en papier, détaille le quotidien.
Privilégier les activités culturelles était également le credo du fondateur d'Apple. "Chaque soir, pendant le dîner, dans la cuisine, Steve Jobs discutait littérature, d'histoire et d'une variété de choses," a rapporté Walter Isaacson, l'auteur de "Steve Jobs". "Personne n'a jamais sorti un iPad ou un ordinateur. Les enfants ne semblent pas accros à tous les périphériques ", ajoute l'auteur.
Des écoles anti-technologies
Selon Nick Bilton, la plupart des pionniers de la technologie limitent l'utilisation de ces gadgets par leurs enfants à 30 minutes par jour pendant la semaine, alors que d'autres ne tolèrent l'usage de la technologie que pendant le week-end.

Une méfiance vis à vis de ces nouvelles technologies qui se retrouve jusque dans le choix d'école. A en croire le New York Times, de nombreux dirigeants et salariés deGoogle, Yahoo, Apple et eBay, envoient leurs enfants dans un établissement Waldorf, dont la pédagogie est particulièrement anti-technologique. Et pour cause, selon la direction, tablettes et smartphone représentent une menace pour la créativité, le comportement social et la concentration des élèves.

Nicolas Hulot, dit Y-a-d'la-Joie


Avec trois barrettes, s'il vous you plait !

Je sais qu'il a été financé (ou fiancé?!) par EDF, VINCI et L'OREAL. 
Paraît qu'il est tiersmondiste et anticapitaliste !
Qu'il ait des idées sur le démantèlement nucléaire
Me fait tordre de rire. 
Un arriviste pyromane chez les pompiers ne peut pas faire de mal ! 

Claude Allègre qui est aussi abruti que moi
En matière de mauvaise foi
Se fendait déjà la gueule : 
- Un mec qui veut obliger les gens à rouler en vélo et qui circule en hélico !
Chevalier des Arts et des Lettres ! 
Claude Allègre encore : 
je suis effrayé par son inculture littéraire et historique 
Claude Allègre, d'accord, ce vieux con n'est pas un référence
Mais quitte à rigoler
Autant pisser de rire.
Il y en a encore d'autres comme lui au gouvernement ?!
Des noms, j'ai besoin de me défouler !

vendredi 7 juillet 2017

Allons z'enfants de la Partie !

Pierre Soulages, Tryptique II. 
C'est Cão (http://caonomdunchien.blogspot.fr/2017/07/soulages-au-musee-03.html) 
Cão me rappelle que, "Noir c'est noir" !

jeudi 6 juillet 2017

Envie d'oubli.

Photo piquée à Calyste (et transformée) : http://calystee.blogspot.fr/2017/07/cest-vous.html

C'est la misère, la maladie exposée à la vue, un peu de déchéance publique. 
La rue, malgré la signalétique au sol qui permet de la traverser, semble infranchissable. 
A première vue, il y a le parallèle entre l'homme et ses deux béquilles en bois et l'immeuble et ses arbres (en bois !)
Les vieux arbres droits comme les poteaux électriques du trottoir, comme les piliers de la façade de l'immeuble. Que de lignes droites et verticales. 
Excepté la ligne courbe de cet homme en passe de choir, ligne attirée vers le sol. 
Et les deux jeunes arbres, pousses verdoyantes, courbés vers la lumière, près de se dresser vers le ciel. 
L'homme est une construction. 
L'immeuble, sans doute une administration, est inatteignable pour l'homme. 
Toute la violence sociale est là : l'institution fermée, inabordable aux hommes.
Le bois de l'arbre, le bois de la béquille taillée dans le bois d'un arbre. 
La vie difficile. 
Et ces deux béquilles d'un autre âge, de celles qu'on place sous les aisselles, elles ont perdu leurs rondelles en caoutchouc et elles sonnent la fin, comme une signature au bas d'un codicille. 
Enfin, cruelle ironie du sort : cette pissotoire pour les chiens, en bas à droite sur le trottoir...

mercredi 5 juillet 2017

MAMAN !


vendredi 30 juin 2017

Manipuler

Ceci est un piétement pour retenir les palissades qui bornent les travaux publics.
Il pèse 26 kgs.
Un jeune en porte deux, un à chaque main. 
Soit 52 kgs.
Ses bras sont tendus vers le sol, ses épaules descendent de trois centimètres. 
Il parcourt dix mètres et les repose délicatement au sol. 
Un homme plus âgé, la cinquantaine, n'en porte qu'un seul.
Son corps est déséquilibré par le poids. 
Il parcourt, en se balançant, cinq mètres et laisse tomber ce poids.
Il s'étire ensuite et frotte son épaule douloureuse. 
Je regarde la manière dont a été conçu ce piétement. 
Il possède différents trous pour amarrer la palissade.
Selon différents angles.
Et aussi deux poignées pour le soulever à la main. 
Tout est prévu pour être manipuler (à la main!). 
Tant qu'il y a une main-d'oeuvre bon marché, 
Il semble inutile d'imaginer la transformation de ce poids lourd. 
Pourtant il est très facile de penser y mettre des encoches 
Pour que l'objet soit transportable avec un système de levier
Monté sur des roues. 
Un système très simple et bon marché. 
Mais tant que la main-d'oeuvre n'est pas chère...
Et que la classe ouvrière n'existe plus !


jeudi 29 juin 2017

J'ai été surpris par le graphisme et les couleurs de cette affiche. 
J'ai eu l'impression de revenir en arrière, dans les années vingt
Ou, sous le Front Populaire en 36 !
Je ne sais pas s'il y a un parti pris rétro ?
Un délire de typographe ?!
Et puis le terme MARCHE, me rappelle trop Macron et son mouvement
MARCHE est une expression désuète, avec un coté franchouillard....
Baguette-Saucisson-Litron de rouge, B.S.L. !
Tout cela sent les ligues de vertus,
Alors que cette reconnaissance de la sexualité de chacun est tout à fait moderne.
Colorée et vivante ! 
Là, ça ressemble à une marche mortuaire, un enterrement... 
Une époque révolue...
Bizarre.


jeudi 22 juin 2017

Chez les curés,

Chez les chrétiens, ce n'est pas vraiment l'abstinence !
Déjà ils ont réincarné le pinard.
Dans cette scène historique, 
On voit un des convives tirer sans vergogne sur le chillum
Au point d'enfumer ses petits copains...

Voir le nombril d'la femme d'un flic n'est certainement pas un spectacle !

En revanche, le dos de Simone de Beauvoir...
"violente censure" perpétrée par le groupe publicitaire "JCDecaux, le métro parisien et les colonnes Morris"

lundi 19 juin 2017

Aujourd'hui, Maman est morte.
J'étais son "petit lapin".

vendredi 16 juin 2017

Y voir mal...

Un simple bidon...
Et j'y vois une forêt !

jeudi 15 juin 2017

FEU !


jeudi 8 juin 2017

P'tite tête de Hérisson


Ce que parler veut dire

voir en entier :
https://archive.org/details/TouchezPasAuGrisbi-1954-JacquesBecker


mercredi 7 juin 2017

La vie, quoi !

... parfois, on cause...

jeudi 1 juin 2017

Véganes, non, Guillotinées !

J'aime l'humour révolutionnaire du parisien lembda !
Affiche taguée dans le métropolitain !