Translate

jeudi 3 novembre 2016

J'ai 

J'ai utilisé after effect et shadowplay, pour enregistrer des vidéos contenant mes meilleurs essaies de gameplay ainsi que quelques moment d'observation de l'environnement.
J'ai créé des crédits et j'ai monté le tout dans after effect ( dans le but de faire une ébauche et de savoir quoi faire pour le vidéo final. )
 J'ai enregistrer, Il a surtout travailler sur les "Cuts" et le montage pour le trailer.
J'ai ajusté le tiling de mes sections de mur pour concorder avec celles a Joel, ainsi que pour concoder avec mes multiples sections de murs.
J'ai ajouté un plane avec une texture de mosaique transparente comme sur le concept pour placer dans certaines fenêtres.
J'ai paufiné le level art de la première pièce à gauche, en placant les arches, les grilles et les bannières pour mieu suivre le concept et Nicola a placé le mesh de mezzanine. 
J'ai placé une fenêtre moins émissive par opposé à la fenetre qui reçoi directement le rayon
J'ai modélisé, texturé et placé une bannière déroulante a de multiples endroits. ( je l'ai divisé aussi en 2 sections, donc parfois je n'utilise que la première section et parfois j'utilise seulement la 2ieme, et des fois les 2 )
J'ai brisé le long couloir droit dans la pièce arrière, par des extrusions epic sur les côtés

J'ai placé plusieurs éléments pour le level art.

J'ai trouvé ça sur un site. 
J'aime bien ce que je ne comprends pas !

Solsirépifpan

Solsirépifpan est le premier homme-orchestre de Paris.
Dans les années 10-20 de ... 1800 !

Malgré notre misère,
Et navré de douleur,
Nous bravons, pour vous plaire,
La honte du malheur.
Ayez de l'indulgence,
Sensibles amateurs,
Avec peu de dépense
Soyez nos bienfaiteurs.


mercredi 2 novembre 2016

Les chemins noirs.

Mauvais rêve, du 1er au 2 novembre 2016
Les chemins noirs.
Je suis jeune et « hébergé » plus ou moins volontairement, - interné ?, dans un alpage du Massif Central. Je dors dans les bas fonds d’une grange désaffectée, vide du foin, les animaux en fuite ou bien morts depuis moche lurette, moi, allongé sur de la paille défraîchie.
La bâtisse est spacieuse, elle comporte plusieurs corps de ferme, des dépendances, dont certaines très confortables. Un château-ferme du début du siècle dernier.
Je dois y rejoindre une personne. Une personne jeune avec qui j’aimerais faire l’amour. Mais j’en suis empêché par des forces obscures et invisibles. J’essaie pourtant.
J’arrive jusqu’à la chambre de la personne convoitée, personne amie et désirante. Sa chambre est sombre, poussiéreuse, encombrée de biens meubles, lits, fauteuils, tables, tableaux, le tout  envahi par les toiles d’araignées invisibles.
La personne en question me demande de faire le silence et m’enjoint de la suivre dans sa fuite ; la fuite, dans la nuit de pleine lune, étant le seul moyen d’être ensemble.
Elle traverse l’Ardèche, la rivière, par un pont. De mon coté,  je tente de couper en suivant la rive gauche de l’Ardèche. Elle atteint le col de l’Escrinet. Je suis loin derrière. Je dois refaire le chemin inverse pour la rejoindre. Je ne parviens pas à la rattraper. Je la vois sauter au loin entre les ronces et les genêts.
La plus part des personnes avec qui j’ai vécu, étant plus jeune, étaient schizophrènes. Ce n’était pas un choix conscient, plutôt un choix par défaut : les gens normaux n’ont pas d’histoire ! Mais avec l’âge, je ne cesse de m’interroger : qu’est-ce qu’une personne normale ? Existe-t-elle ?  Une personne normale ne serait-elle pas toujours soumise à son grain de folie ?
La personne que je voulais rejoindre dans ce rêve, mauvais rêve, ce sont les seuls dont on se souvienne, me rappelle cette autre personne, qui disparaissait plusieurs mois et m’écrivait des lettres de chez sa tante à Montfavet.
En tapant sur internet, je constate qu’elle était à l’hôpital psychiatrique de Montfavet, qui dispose d’une unité pour malades difficiles, une UMD, dont le recrutement est national. La personne en question habitait du coté de Dreux, à Bazoches. C’est dingue la mémoire que j’ai, c’était il y a plus de quarante-cinq ans ! A l’époque, fou et passablement drogué, allongé au milieu de la chaussée, je l’avais rencontrée dans cette ville, Dreux, où j’étais pensionnaire. Je lui avais plu, et comme elle m’acceptait tel quel, ça allait !
Quinze ans plus tard, à Vanves, dans un garni « de rêve », plus que dégarni, je lève les yeux vers une fenêtre où vient d’arriver un nouveau locataire. Qu’y vois-je, la même personne. Le hasard, purement le hasard, ou ce n’est autre que le parcours des déclassés ?! Là encore, comme la personne voyait des yeux qui la surveillaient au fond des trous dans les murs laissés par d’anciens clous, je me vis contraint, à sa demande, de la conduire en urgence à l’unité psychiatrique la plus proche, celle du Métro Corentin-Celton, Corentin-Celton, syndicaliste et résistant fusillé par les nazis en quarante-trois. Elle y resta de long moins, zombie comblé de médicaments.
Des personnes comme ça, j’en ai rencontré beaucoup, beaucoup à l’échelle d’un homme, c’est à dire quelques unes ! Des personnes, gravement malades, trépanées, bipolaires, maniaco-dépressives, mal dans leur corps, voulant changer de sexe, etc.
Depuis, je suis avec quelqu’un qui sait équilibrer sa folie ; je respire ! Mais je fais encore de mauvais rêves, qui n’ont pas la violence des cauchemars, mais des rêves d’impuissance et de malheur. Des rêves de chemins noirs…
En ce moment je lis, « Sur les Chemins Noirs » de Sylvain Tesson. Il vient de perdre sa mère, qu’il aimait, et de faire une grave chute, imbibé d’alcool. Il cesse de boire et marche sur les chemins noirs, ceux qui balisent ce que les énarques appellent les régions démunies de l’hyper-ruralité ! Le livre n’a pas l’ambition de ses prétentions, mais il est petit et se lit avec intérêt. L’auteur est sobre pour aujourd’hui, comme tout alcoolique, par vingt-quatre heures à la fois !  J’y relève deux trucs : de mémoire, il y en a qui rêvent d’entrer dans l’Histoire, moi j’entre en géographie ! Et en le citant : « Le passé m’oblige, le présent me guérit, je me fous de l’avenir ! ». L’écriture de ce présent petit texte correspond à cette citation, l’écriture me guérit ! Le publier ne sert qu’à me relire ! Ou à le partager…

Papillon !


mardi 1 novembre 2016

Pierre Bonnard

... de temps à autre, je "fais" un Pierre Bonnard, en plus petit  !  


World Wide Web, W.W.W., alias la Toile d'Araignée Mondiale


Allo, Win ?

Allo ? Win, the winner ?!
 I am Toto, the looser !

Que répondre ?

Je n'ai tjrs pas reçu ce putain-puceau-de-maudît colis posté des Amériques du Nord !
En revanche j'ai reçu cette très joyeuse réponse à mes réclamations :  
" Ru a corroyé le galop louche cinq vêtus aimablement coincés de manière d'agitation accroché par bouchet de précepte de 
plaisanterie que vingt-sept canarre de jardin déformés accordent avec assez 
détresse de canarre de medoc de mule. les turquoises fortes de fousques d'arbalète de double croche de parents de pharaon puisque les coeurs de dette 
ont indiqué bénéficient si travaillés entrés par perche livrés 
immédiatement évitent les we de land regenting. 
petit le panurge cramoiside fesse howbeit tracé par aperçu malfaisant crescit de prologue du monde a renvoyé les signes audacieux de lucifers de bon à rien de l'eau restés par jours de l'eau sous le vent docile de baillement. brun de gargantua de Frances 
jusqu'à ce que les troupeaux de abattement de distinction fertile de 
force de satyres de noahs poussés par voisins aient apaisé moelle /courgette de colewort de MERLIN de 
mâchoires de hurtali apaisée parasile des paroles de 
bureaux de beda la grande". 
Ce qui m'enjoint à cesser toutes jérémiades !

jeudi 20 octobre 2016

Retrouver les couleurs

Saouls, noirs comme des cochons,
Ils sont gris.
Ivresse sur la voie publique.
Hauts-parleurs, ils donnent de la voix ... publique !
Il restent quelques heures dans la cellule de dégrisement. 
Les murs de cette cellule absorbent le gris. 
Après des heures, leurs hurlements s'étranglent...
Le silence bourdonne.
Ils reprennent des couleurs !

Ah ah ah !

Alcooliques Anonymes est une association d'hommes et de femmes qui partagent leur expérience, leur force et leur espoir dans le but de résoudre leur problème commun et d'en aider d'autres à se rétablir de l'alcoolisme.
La seule condition requise pour en être membre est un désir d'arrêter de boire. En A.A., il n'y a ni cotisation ni droit d'inscription; nous nous finançons par nos propres contributions.
A.A. n'est allié à aucune secte, confession, parti politique, organisation ou institution, ne souhaite s'engager dans aucune controverse, ne cautionne ni ne s'oppose à aucune cause.
Notre but primordial est de rester abstinents et d'aider d'autres alcooliques à parvenir à l'abstinence.







mercredi 19 octobre 2016

La campagne électorale


lundi 17 octobre 2016

Jouer au docteur

J'avions été au cinématographe voir 'La Fille Inconnue' des frères Dardenne. 
C'est archi nul ! 
C'est plutôt un film sur 'Comment bien jouer au docteur en l'an 2016".
Ne reste qu'une seule chose intéressante mais qui hélas n'a pas été traitée : une femme qui refuse quelque chose à un homme, fut-elle une prostituée, étrangère et sans papiers, a toujours l'issue brutale d'en mourir ! 

jeudi 13 octobre 2016

Présidentiellement votre

Je suis féministe et toujours socialiste
Hollande

C'est bien la parité en politique, mais c'est bruyant
Sarkozy

Si on tolère la pilule, on ne tiendra plus rien
De Gaulle

Par éthique je ne tire pas les animaux femelles
Giscard

Autrefois, la femme était comme un frigidaire dont l'homme tirait la poignée
Pompidou 

Paramédicalement votre

Orthophoniste pour ceux qui lisent en braille et pour ceux qui sont muets...

lundi 10 octobre 2016

Quand on vieillit un peu...

L'Automne a quelque chose de l'âge, quelque chose d'admirable, les couleurs  restent suspendues, comme en attente de l'or...





mardi 4 octobre 2016

Qu'est-ce que je pourrions dire ? J'sais pas quoi dire !

J'ai acquis un nouvel appareil photo, un reflex numérique. On écrit reflex mais on dit réflex. On me l'a si facilement proposé que je m'y suis pris les pattes dedans. Il était temps d'y mettre ma patte, moi qui me targue de faire de la photo. 
Ce n'est pas le meilleur des reflex numéniques-ta-mère, mais pour un mec comme moi, qui fait des fotos avec une boite de conserve percée d'un petit trou, c'est bien suffisant. 
Avant j'utilisais des reflex argentiques avec des "cailloux" (objectifs) plus coûteux les uns que les autres. Il y avait trois ou quatre réglages à faire, puis hop, on appuyait sur le déclencheur et on avait l'image de ce qu'on voulait prendre. 
Maintenant, il faut cinquante trois réglages pour faire une image qu'on ne voulait pas.  C'est beaucoup plus pratique et beaucoup moins rapide. C'est tellement accessible qu'on retrouve tous ces appareils sur internet, revendus d'occase par des amateurs qui se sont lassés, plus vite que le TGV Paris=>Brie-Conte-Robert, des réglages improbables. 
Mes reflex argentiques avaient un beau nom, OLYMPUS, et les objectifs, c'étaient des ZUIKO. Olympe, j'étais un dieu, pantelant panthéiste. Zuiko me rappelait Bernard-Marie Koltès et sa pièce sur Roberto Zukko, tueur en série : la classe, je me prenais pour Néron. 
J'ai toujours répugné à acheter des marques avec des noms pourris à la con comme la marque Ni-con-ni-à faire, la marque Canon-de-la-Nation, ça ne me faisait pas rêver. Et ça ne me fait toujours pas plus rêver, alors, toute honte bue, je ne vous dirais pas la marque de cet appareil qui finalement me plait bien parce qu'on peut faire de très bons trucs avec. A l'ère des appareils hybrides, qui est composé d'éléments disparates, tout est permis ! En plus j'apprends qu'en enlevant l'objectif de l'appareil et en mettant devant le gros trou noir un carton percé d'un petit trou, on peut faire des sténopés ; comme avec mes boites de conserves à deux balles, percées, mais en plus cher. C'est à des p'tits détails comme ça que l'on est snob ou pas. 
Pour l'instant, avec ce nouvel appareil, je n'ai pas fais grand chose. Dubitatif, je lis sans déplaisir, la notice d'emploi. Je baigne déjà dans l'allégresse de la découverte, x millions de pixels, ça marque un homme ! Je prends mon pied et je surveille les taupes. En prime et exceptionnellement, je vous offre généreusement ces deux photographies - qu'est-ce qu'on ne fait pas faire à la lumière- que vous pourrez développer en format A0, c'est à dire un format assez royal : 1,189 mètre par 0,841 mètre... De quoi méditer avant de dormir sur l'Existence est-elle un Humanisme ? Après vous serez bon pour entamer en toute conscience -sans conscience, c'est la ruine de l'âme - la lecture de L'Etre et le Néant de Jean-Sol Partre, 500 grammes pile-poil, l'édition originale de 1943 servit, durant des périodes difficiles, de tare aux bouchers parisiens...