Dépression suite, ce n’est pas une suite,
c’est une fugue de Bach !
Dur très dur cette dépression.
Je m’interrogeai, depuis que je ne bois
plus d’alcool, que me reste-t-il pour fuir les emmerdements ? Je bois,
pour oublier les amis de ma femme comme le chante Boris Vian ! Il ne me reste pas grand-chose pour m'oublier,
je ne prends plus de drogue non plus. Et la réponse à la question ne
serait-elle pas : il ne te reste que ta dépression et l’effort de tenir et
d’en sortir.
Mais la dépression ne permet pas de s'oublier, au contraire, elle ramène constamment à soi, c'est le paradoxe, difficile à décrypter...
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