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jeudi 21 septembre 2017

Les réjouissances continuent ! Vive Macron !

On peut cliquer sur chaque photo pour mieux la voir !
votre serviteur toujours en verve :
A L'ASILE ET AVEC TES ORDONNANCES !
Une bande de trentenaires sympas : PINK BLOC !

Le PCF bande encore !






ça, c'est ma copine Sylvianne R.
Elle fait toutes les manifs avec ses bandes rouges et blanches
qu'elle noue sur les souffleries du métro !





les lycéens sont de plus en plus âgés !
La flemme d'inventer un slogan !
Un manque d'imagination écrite est la caractéristique de cette manif.
Les chants, les chansons et les slogans oraux sont meilleurs
La prochaine fois j'enregistre !

L'auguste Blanqui doit être fier !









... au dessus on voit une pub du Qatar qui finance une course de chevaux !












... là c'est une pub pour UBER !




mercredi 20 septembre 2017

Petit Bateau, je t'aime beaucoup...


lundi 18 septembre 2017

Pêcheur de nuages !


mercredi 13 septembre 2017

LA REPRISE SE CONFIRME...




mardi 12 septembre 2017

Manif du 12 sep 17 : 50 000 manifestant(e)s à Paris

votre serviteur : fainéant, cynique et extrême !
les forains en force !

ils représentent 35 000 familles ...
Mélenchonistes
Elus de la France Insoumise dont Eric Coquerel
Camarades forains
très beaux nounours !
Un monde de Princes de la rue
Mobilisés par leur chef : Marcel Campion

les APL réduites
les emplois aidés supprimés
les AVS (aides pour la vie scolaire, pour handis) sinistrés
Les naïfs : comité de soutien aux personnes en taule pour avoir brûlé une voiture de Police !
Macron Rupin-des-Bois !
 UNE MANIF UNITAIRE MALGRE FO CFDT et CFTC...



Même les mickeys y sont présents...


PCF antonien 
(Est-ce une scission ou une secte ?!)
Y avait du monde, à Paris 50 000



Et une fée-Néante
Une collègue !

jeudi 7 septembre 2017

PEUPLE DE FRANCE !

Ceux que l’on ignore. 

Il existe un délit de sales-gueules. Il est circonscrit à des pratiques policières illégales,  contrôles au faciès répétés, ou faux témoignages racistes, c’est un noir, lorsqu’on n’a rien vu.  Mais quand les sales gueules correspondent à une multitude de gens amochés par leurs conditions d’existence, il n’y a pas délit, évidemment, il y a surprise.
Ce que j’ai vu …
J’ai « fait » un vide-grenier, en France, à douze kilomètres d’une petite sous-préfecture. Si tant est que le terme de sous-préfecture ait encore un sens de nos jours, à une époque qui n’a plus ou pas encore son-Courteline. A douze kilomètres de cette bourgade, se trouvait un sens unique. Un vide-grenier, organisé par les sapeurs-pompiers du village, s’étalait sur un terrain de football. J’y ai stationné de six heures à dix-huit heures, soit douze heures d’affilées. Je n’y ai vu déambuler que des sales gueules !
Là, j’ai vu défiler tout un peuple de gueules cassées, pas les « Gueules-Cassées » de la Grande Guerre, celle de 14-18, mais celles de gens terriblement abîmés par des conditions d’existence difficiles. Les Gueules Cassées de l’économie. Jeunes et moins jeunes. Des gueules endommagées par l’exercice du travail. Et aussi par le chômage, la précarité. Rongées par l’incertitude du lendemain, par l’absence d’avenir, de perspective.  J’emploi le mot « gueule » dans le sens de visage évocateur, suggestif, comme on dit, c’est une belle gueule. Ou bien, il a d'la gueule.
Gueules et corps cassés par les conditions économiques et culturelles de notre temps présent. Des gens qui avaient à la fois des visages ingrats, marqués par les soucis quotidiens, par les travers de la vie, mais aussi avec des visages et des corps estropiés, avec force de béquilles, de bandages et de cicatrices. Un peu d’alcoolisme sûrement, mais un alcoolisme ayant uniquement pour fonction d’atténuer des souffrances sociales récurrentes.
Le commerce qui se traitait sur ce marché était principalement un échange de chiffons, (layettes, pantalons, T-shirts, draps) contre cinquante centimes d’euros voire parfois un euro pour du cuir. Quelques objets utilitaires changeaient de mains pour un maximum de dix euros. On ne peut pas dire que cela ressemblait à de la pauvreté, ni au dénuement qui suinte des sans-domiciles qu’on rencontre dans les grandes villes.
A mon sens, et je peux me tromper, mais ces gueules-cassées-là ne se rencontrent jamais dans les grands centres urbains. On pourrait parler d’un nouveau-lumpenprolétariat. Le terme marxiste convient très bien. Cette société paraissait composée premièrement de gens déclassés, vivant dans des impasses existentielles, d’individus emprisonnés malgré eux dans des stéréotypes accablants. Travailleurs, qualifiés, chômeurs, mais ni voyous, ni mendiants, ni voleurs. Gens honnêtes,  parce que  nous ne sommes passés de l’ère violente du haillon (lumpen) à  celle plus soft du chiffon.
Dans notre société des grandes villes, ces personnes sont invisibles. J’ai l’heur’ de penser qu’elles ne votent probablement pas pour le Front National, parti populiste et surtout, raciste. Ce serait trop facile qu’elles le fassent, trop caricatural. Parmi tous ces chalands, d’une grande diversité, chacun pivotait autour d’un point commun : l’absence de beauté, de celle qu’on voit dans nos villes et qui n’est pas publicitaire.  Et aussi, l’impression de la douleur sur la peau, tatouage de cette douleur, de cette douleur qui masque tout et recouvre jusqu’aux sourires.
Défilant devant les stands de broutilles et de pacotilles, tout ce monde, dont la seule motivation semblait être celle de vivre coûte que coûte, restait d’une politesse inouïe, faisait preuve d’une gentillesse incroyable et ne se plaignait de rien. Pas de joie réelle ni de tristesse non plus. Pas de hargne, ni de révolte. Une retenue dans la parole, une plaisanterie lâchée mais vite reprise pour ne pas trop rire.
Si ce peuple n’est pas le fer-de-lance de la nation en marche selon les visions de notre actuel Président de la République, il est sûrement le manche indispensable à ce fer-de-lance !

Si jamais je leur ressemble, combien sommes-nous ?!

jeudi 31 août 2017

Le monde sur un mur...

C'est tout un monde !
Je possède la collection complète du journal Le Monde, 
De 1944 à 2000. 
Certes, tout le monde s'en fout !
Je vends cette collection, en tout ou en partie...
Si je ne vends pas, je ne vais pas en faire un monde. 
Et si je dois foutre Le Monde à la benne, ça ne changera pas la face du monde. 
En ce bas monde, tout le monde s'en fout !

Là : quatrième trimestre 1948. 

mercredi 30 août 2017

Ils flottent !

Deux grosses figues !

On flotte au dessus du Jardin des Palettes

Il y a tout un bordel de bouse...

Les gens sont émerveillés, coucou !

Parce que c'est beau, c'est doux

Dans la nacelle en osier, nous étions quatre :
Un aérostier, une aérostière invitée, 
Et deux zombies futés dont votre serviteur...

vendredi 18 août 2017

La vague

Sûr, ça ne vaut pas la Grande Vague de Gustave Le gray, 1857.
Malgré les progrès techniques de la photographie !