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samedi 18 janvier 2020
Rêver Paris
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
vendredi 17 janvier 2020
Habitat parisien, 2020
Cour d'un chiffonnier, la Zone, porte d'Ivry, zone de fortifications, 13ème arrondissement, Paris 1903
Maison de chiffonnier, porte d'Ivry, zone de fortifications, 13ème arrondissement, Paris 1907
Hier je travaillais sur de vieilles photos d'Eugène Adget
Et voici ce que je trouvys en sortant du boulot :
C'est rue de Belleville, au niveau de la place des Fêtes,
Le local aux poubelles de l'immeuble dans lequel je bosse.
Un beau trois-pièce, avec vue sur cour.
Tout ça, ça s'passe
Quelque part dans l'espace
Tout comme l'hier
De notre Ville-Lumière !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
jeudi 16 janvier 2020
Retraites
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mercredi 15 janvier 2020
Bientôt la retraite ...
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mardi 14 janvier 2020
L'oiseau blessé
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lundi 13 janvier 2020
ON N’EST PAS DES BÊTES !
Sachant que l’accélération terrestre petit g est égale à
neuf virgule quatre-vingt un, que grand P est égale à Ui ou à grand effe sur
petit esse, c’est selon les humeurs, que je n’ai toujours pas fait de firefox
mon navigateur par défaut, que je suis enrhumé et que ce n’est pas près de guérir
vu que je n’ai toujours pas cessé de fumer, que le métro semble toujours en
grève et que j’en ai marre de cette grève qui m’oblige à circuler sur mon vélo
tout pourri mais que n’étant plus à une contradiction près et ne sachant plus s’il
faut écrire « prêt ou près », vu que je participe aux caisses
de grèves électroniques en soutien à
ceux qui veulent foutre le bordel, sachant que du chaos naissent les plus
belles roses à moins que ce ne soit du fumier ce qui peut se concevoir
actuellement à Paris puisque la Police Montée reprend du service au bois sans
doute pour protéger les pierreuses qui s’y livrent à … je ne sais même plus ce
que je voulais dire, ah si, au vu de ce qui précède et de bien d’autres choses
que je préfère tenir cachées, je n’irais bien pas travailler ce matin, mais la
perspective de rater une réunion professionnelle en fin d’après-midi, réunion
où il me reste encore une bonne occasion de foutre le bordel, voir plus haut
mon opinion au sujet du bordel, m’y soustraire serait inconséquent, sous-traire
ferait meuh-meuh : alors j’y vais !
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dimanche 12 janvier 2020
Toulouse Lautrec à Paris ...
Mais on pouvait contempler l'Homme de pierre, précurseur du tabagisme !
La Gueule de bois
La Blanchisseuse
La Pierreuse
Et Miss Loïe Fuller, dansant ...
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jeudi 9 janvier 2020
La retraite à 60 ans !
Ça y est nous voilà vieux ma vieille
Des vrais vieux qui trient les lentilles
Des vieux de la tête aux béquilles
Tiens voilà le bout de la rue
On souffle comme qui l'aurait cru
Du temps qu'on vivait à grand pas
Du temps qu'on leur en voulait pas
Aux étoiles de disparaître.
La retraite !
T'as beau dire qu'on nous rend le cœur
Une fois vidé du meilleur
Qu'ils ont pris le tronc et la force
Qu'ils ne rapportent que l'écorce
N'empêche c'est déjà moins con
Que soit consigné le flacon
Qu'après le festin on nous laisse
Les arêtes de la vieillesse
Le temps d'finir la cigarette.
La retraite !
Tout ici a la soixantaine
Ce café-là sent la verveine
Je t'aime, enfile tes chaussons
L'amour jette ses paillassons
Et la tête tourne soudain
A relire le papier peint
Où mille fois les chasseurs tuent
Un grand cerf qui cherchait l'issue
Entre la porte et la fenêtre.
La retraite !
Il paraît qu'à un certain âge
Plus ou moins l'esprit déménage
Et qu'on a la raison qui tangue
Et des cheveux blancs sur la langue
Nous on doit être centenaire
A rêver du bout de la terre
Avoir des envies de Pérou
Et entendre au-dessus du trou
Ce bruit de pelletées qu'on jette.
La retraite !
Le soir descend, partons d'ici
Faudrait pas qu'ils nous trouvent assis
Si on larguait les bibelots
Tout tiendrait dans un sac-à-dos
Regarde, on tend le bras et hop
Ils appellent ça l'auto-stop
Tant pis si on n'a pas de jeans
Si cette conne s'imagine
Qu'avec elle le cœur s'arrête.
La retraite !
Adieu le lit, salut Madrid
On laisse pas longtemps nos rides
Pour peu qu'on se démerde bien
On s'ra à Tolède demain
A regarder les ombres lentes
Eteindre les maisons brûlantes
Salut l'oranger sur la cour
Salut la paresse des jours
J'avais hâte de te connaître...
La retraite !
Tiens, c'est le fond de la bouteille
Ça y est nous voilà vieux ma vieille.
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ZOIZOS
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mercredi 8 janvier 2020
L'ABRE QUI CACHE LA FÔRET
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mardi 24 décembre 2019
Où les hommes le disputent aux oiseaux ...
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Sans "e"
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lundi 23 décembre 2019
MAISONS
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vendredi 20 décembre 2019
La société du spectacle
Les médias nous montrent en permanence les manifs avec à leur tête les responsables des grandes centrales syndicales. De l'autre coté, la presse nous montre également les responsables politiques des grands partis dont une partie d'entre eux nous gouvernent. Et on nous laisse en permanence accroire que le jeu se joue entre ces principaux personnages.
Le décor du match qui se joue est digne d'une fête foraine à l'ancienne : bras de fer, qui cèdera le premier, porte de sortie, blocage, etc. A force de tourner en rond, avec toujours les mêmes têtes, ça devient guignolesque. Et il ne faut pas s'étonner si dans un tel théâtre le quidam de base, le pékin moyen, émet des réflexions tranchées et caricaturales qu'il soit pour ou contre la grève. Les journalistes et les commentateurs de tout bord ne faisant que broder sur la parole de ma concierge.
Or il en va tout autrement.
La plus part des grands responsables politiques sont là pour protéger les ressources financières des banques et des grands commerçants. Le capitalisme est une tendance internationale et ils ne peuvent pas faire autrement que favoriser cette circulation. Ceux qui sont de gauche tentent de freiner, à peine.
De l'autre coté, les grandes figures syndicales, sont dépassées par la grève. Ils n'en voulaient pas. Ils préféraient négocier avec les gouvernements, les grands patrons, sous les ors de la République. Mais sous peine de disparaître, ces grands leaders syndicaux, sous la pression de leur base, ont du se soumettre aux revendications des salariés.
Ce qu'on ne nous montre jamais :
Ce sont les Assemblées Générales de salariés qui votent massivement la grève. Souvent contre leurs responsables syndicaux qui traînent les pieds parce qu'ils en ont reçu la consigne.
Ce sont toutes ces petites mains qui fabriquent les banderoles qu'on voit actuellement dans les manifs et qui sont bien plus expressives que les gros ballons à la con des grandes centrales syndicales.
Ce sont toutes ces mains levées contre la réforme.
Ce sont tous les soutiens discrets de ceux qui seraient en peine de faire grève.
Ce sont tous ses salariés fatigués par la grève, épuisés parfois, et qui retiennent leur colère, parce qu'ils ont du mal à la diriger vers les grévistes.
Il y a actuellement toute une micro-démocratie déterminée, réfléchie, revendicatrice et dans la rue.
En partie le fruit de la révolte des Gilets Jaunes, l'année passée.
N'y a-t-il plus de Willy Ronis pour fotografier les AG ?!
Ou bien, la parole des gens n'intéresse-t-elle plus personne dans notre société de la Novlangue et du Spectacle ?
Le décor du match qui se joue est digne d'une fête foraine à l'ancienne : bras de fer, qui cèdera le premier, porte de sortie, blocage, etc. A force de tourner en rond, avec toujours les mêmes têtes, ça devient guignolesque. Et il ne faut pas s'étonner si dans un tel théâtre le quidam de base, le pékin moyen, émet des réflexions tranchées et caricaturales qu'il soit pour ou contre la grève. Les journalistes et les commentateurs de tout bord ne faisant que broder sur la parole de ma concierge.
Or il en va tout autrement.
La plus part des grands responsables politiques sont là pour protéger les ressources financières des banques et des grands commerçants. Le capitalisme est une tendance internationale et ils ne peuvent pas faire autrement que favoriser cette circulation. Ceux qui sont de gauche tentent de freiner, à peine.
De l'autre coté, les grandes figures syndicales, sont dépassées par la grève. Ils n'en voulaient pas. Ils préféraient négocier avec les gouvernements, les grands patrons, sous les ors de la République. Mais sous peine de disparaître, ces grands leaders syndicaux, sous la pression de leur base, ont du se soumettre aux revendications des salariés.
Ce qu'on ne nous montre jamais :
Ce sont les Assemblées Générales de salariés qui votent massivement la grève. Souvent contre leurs responsables syndicaux qui traînent les pieds parce qu'ils en ont reçu la consigne.
Ce sont toutes ces petites mains qui fabriquent les banderoles qu'on voit actuellement dans les manifs et qui sont bien plus expressives que les gros ballons à la con des grandes centrales syndicales.
Ce sont toutes ces mains levées contre la réforme.
Ce sont tous les soutiens discrets de ceux qui seraient en peine de faire grève.
Ce sont tous ses salariés fatigués par la grève, épuisés parfois, et qui retiennent leur colère, parce qu'ils ont du mal à la diriger vers les grévistes.
Il y a actuellement toute une micro-démocratie déterminée, réfléchie, revendicatrice et dans la rue.
En partie le fruit de la révolte des Gilets Jaunes, l'année passée.
N'y a-t-il plus de Willy Ronis pour fotografier les AG ?!
Ou bien, la parole des gens n'intéresse-t-elle plus personne dans notre société de la Novlangue et du Spectacle ?
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mercredi 18 décembre 2019
Pénibilité ...
Malthus, d'outre tombe, souffle à Macron une solution en or pour l'équilibre des
Caisses de retraites ...
La mort au travail avant 64 ans !
Par répartition, bien entendu !
Parce que par points, chacun sent qu'au train où vont les choses, il y aura plus de mauvais points que de bon points !
http://www.regards.fr/societe/article/accidents-du-travail-des-centaines-de-morts-par-an-en-silence
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