Publi-reportage- Publi-reportage- Publi-reportage- Publi-reportage- Publi-reportage-
1° J'enfile un pantalon Louis-Ferdinand-Céline, noblesse oblige.
3° Une chemise cintrée Jean-Louis Trintignant, voir l’étiquette de la liquette.
4° Ensuite, un pull à rayons XXL siglé Hugo-Victor.
5° Sans chaussettes, va-pu-pieds, une paire de Didier-Daeninckx, 44.
Me voici fin-prêt-de-la-toilette pour aborder le trottoir criblé de trous du Périphérique parisien. Au quatrième top, il est neuf heures douze. C'est parti ! L'atmosphère saturée de CO2 me ragaillardit les œufs-mollets. Trente cinq kilomètres virgule zéro quatre à parcourir pour un voyage au bout de la nuit. Douze heures plus tard je retrouve mon point de départ à pile-poil-toilettage-pour-chiens, neuf heures douze tapantes.
Plus Emile Zola que moi : j’accuse !
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RépondreSupprimerNon je ne lis plus, je m'habille, voir Zadig & Voltaire !
SupprimerBientôt l'hiver, il va me falloir une veste chaude.
Je vais sûrement la trouver dans le domaine Litérature Canadienne ...
Parce que ce n'est pas la plume de Christine Angot qui va me réchauffer ...
Je me souviens, c'est Agnès B qui a commencé à mettre des ouvrages connus et respectés en vitrine pour mieux vendre ses fripes. A moins que ce ne soit Sonia Rykiel ?!
Tous ces marchants de sapes qui ont fait fuir éditeurs et libraires du quartier latin ...
des amers urbains.
RépondreSupprimerC'est sûr que je ne vais pas me fringuer avec du Jean-Giono !
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