Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, c’est que la santé gratuite sans condition de revenu, de parcours ou de profession, notre Etat-providence ne sont pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe. Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie, au fond, à d’autres est une folie.
Signé : Macronavirus, COVID-19.
Signé : Macronavirus, COVID-19.
VIVE LA SECU !
Pendant ce temps-là le virus de la tomate désespère ...
Vous avez parfaitement raison, Macronavirus.
RépondreSupprimer(Suis heureux d'être en accord avec Chroum pour mon premier commentaire sur son beau blog.)
Faudrait que dans la foulée de la pandémie le gouvernement supprime les mutuelles, qui ne sont que des assurances privées, pour tout reporter sur la Sécu. Didier Tabuteau remarque qu'alors nous serions tous remboursés à 100% et que la sécu ne serait pas pour autant en déficit, au contraire ...
RépondreSupprimerParce que l'argent publicitaire à promouvoir des mutuelles qui ne sont là que pour faire du fric renflouerait évidement largement les déficits de la Sécu !
La sécurité sociale fut élaborée par le conseil national de la résistance !