A tous ceux que le coeur me fend !
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoilesLa blanche Ophélia flotte comme un grand lys,Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles...- On entend dans les bois lointains des hallalis.
Arthur, encore !
ô, naïades ...
C'est du Leconte de l'Isle ?!
Après recherches, de Alexandre Jules de Parseval Grandmaison : "Ô Naïades, ouvrez vos liquides berceaux." Leconte de l'Isle avait enlevé le "ô"....
Bon !
Soutenu-soutenu, léger léger
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
RépondreSupprimerLa blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles...
- On entend dans les bois lointains des hallalis.
Arthur, encore !
RépondreSupprimerô, naïades ...
RépondreSupprimerC'est du Leconte de l'Isle ?!
RépondreSupprimerAprès recherches, de Alexandre Jules de Parseval Grandmaison : "Ô Naïades, ouvrez vos liquides berceaux." Leconte de l'Isle avait enlevé le "ô"....
RépondreSupprimerBon !
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