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jeudi 22 juin 2017

Voir le nombril d'la femme d'un flic n'est certainement pas un spectacle !

En revanche, le dos de Simone de Beauvoir...
"violente censure" perpétrée par le groupe publicitaire "JCDecaux, le métro parisien et les colonnes Morris"

lundi 19 juin 2017

Aujourd'hui, Maman est morte.
J'étais son "petit lapin".

vendredi 16 juin 2017

Y voir mal...

Un simple bidon...
Et j'y vois une forêt !

jeudi 15 juin 2017

FEU !


jeudi 8 juin 2017

P'tite tête de Hérisson


Ce que parler veut dire

voir en entier :
https://archive.org/details/TouchezPasAuGrisbi-1954-JacquesBecker


mercredi 7 juin 2017

La vie, quoi !

... parfois, on cause...

jeudi 1 juin 2017

Véganes, non, Guillotinées !

J'aime l'humour révolutionnaire du parisien lembda !
Affiche taguée dans le métropolitain !

Débredinoire

Débredinoir.
C'est une des inventions religieuses qui me séduit le plus. C'est même la seule qui me séduise vraiment !
Un débredinoir se dit aussi une débredinoire. Sexué(e), c'est selon ! On le prononce souvent débeurdinoir. C'est l'avantage des dialectes régionaux. Apparemment, il en existe deux en France, un à Saint Menoux et l'autre à Saint Germain en Brionnais. Peut-être un troisième à Bourbon Lancy ?!
Un débredinoir est une construction intérieure d'église. C'est un trou avec une cavité creusée dans la pierre où l'on passe la tête si nécessaire. Nécessité : il faut être un poil « bredin » pour s'y aventurer. Bredin signifiant, simple d'esprit, fou, turbulent. La beurdinerie étant la bêtise humaine. Y mettre la tête durant quelques minutes s'avère avoir des vertus prophylactiques. On en ressort « guéri ». Mais il faut bien viser et faire très attention de ne pas toucher les bords du trou. Ceux qui se cognent contre les rebords du trou récupèrent toute la folie accumulée par les autres fous qui sont passés avant eux.

Si on suit bien le mode d'emploi, c'est efficace. 

lundi 29 mai 2017

Nov-langue !

les mots pour le dire !
Remonter, se rapprocher, dedier.

     Une directrice, Génie des Carpates, Danube de la pensée, très au fait du je-ne-sais-trop-quoi managérial, très efficace dans le presque rien, utilise à tout va cette nouvelle langue de bois dans le cadre du travail. 
     Durant une réunion professionnelle, elle nous a répété sept fois : les informations que vous m’avez fait remonter. A l’entendre nous seriner pour la septième fois le verbe remonter, nous avions l’impression d’être tout noir, au fond de la mine, au fond du trou, dans une galerie si profonde que nous ne savions pas si elle pouvait entendre nos pauvres et faibles voix au souffle silicosé ! A la fin de la réunion, nous avions bien compris qu’elle ne voulait rien entendre et surtout pas se salir les oneilles en nous écoutant !
     Lors d’un échange de mail, cette même personne, utilise également à tout va cette expression : j’aimerais que vous vous rapprochiez de moi afin de comprendre votre problème. Se rapprocher d’elle ! C’est le truc à la mode. Je n’ai pas le temps d’analyser cette expression, mais en la lisant trop souvent, j’ai le sentiment d’une volonté de familiarité totalement déplacée dans le contexte d'un échange professionnel. C’est comme si elle mettait sa main sur notre cuisse pour nous inviter à lui parler ! C’est d’autant plus ridicule que cette personne naturellement ne répond jamais aux mails, ni au téléphone, ni aux demandes de rendez-vous.  Lors de sa prise de fonction, elle nous a bien évidemment assurés de son entière disponibilité !
     Dédier. Lorsqu’on l’a interrogée sur un nouveau profil de poste, elle a répondu que ce serait un poste dédié. Lorsqu’on lui a demandé quel serait le montant d’un financement et sa destination, elle a répondu que ce serait une dépense pesée et dédiée ! Quatre ou cinq fois nous avons eu cette réponse ; ce sera une chose dédiée…  
     En écoutant la radio, je repère depuis quelques temps l’emploi de ces trois verbes : remonter, se rapprocher et dédier.
     En consultant le CNRTL (Centre national de ressources textuelles et lexicales) :
-      Remonter : accéder à nouveau à un degré supérieur d’une hiérarchie. Revenir à la surface

-      Se rapprocher : devenir plus proche l’un de l’autre !

-      Dédier : engager ses forces morales, spirituelles ou matérielles au service d’une valeur estimée très haute. S’offrir à dieu pour le servir en se mettant sous sa protection.


En entendant cela, il me remonte en bouche un goût nauséeux, mes yeux se rapprochent inutilement du bout de mon nez et je dédie ces petites considérations à la sagacité du lecteur ! 


Pour rester dans le Finistère !

LE COLIN FROID 

À l'automne 1979, Jean-Edern Hallier publie un pamphlet anti-giscardien, Lettre ouverte au colin froid (Albin Michel), qu'il présente comme «un outrage au président de la République», coupable à ses yeux, d'être un suppôt de «l'imposture du libéralisme», cette «nouvelle barbarie abstraite». Hallier, rejeton d'une aristocratie finistérienne et séculaire, trublion, a déjà publié quelques romans, dont le remarqué Le premier qui dort réveille l'autre, deux ans auparavant.
Comment, entre Bécassine et le Colin froid, ne pas être tenté par la lecture du Vernon Subutex 3 de Virginie Despentes ?! 

Bécassine

Pour justifier l'emploi de son fils comme assistant parlementaire, l'entourage du ministre de la Cohésion des territoires aurait prétexté la difficulté de trouver, en Centre-Bretagne, un jeune sachant lire, écrire correctement et surfer sur Internet. Il n'est pas utile de signaler le nom de ce ministre que l'histoire oubliera. En revanche il ne faut pas oublier que l'Inoubliable Bécassine, crée en 1905, n'avait pas de bouche... Avec un siècle d'écart, la bourgeoisie qui se prend pour l'élite de la Nation est toujours aussi insultante pour les gens ! 


vendredi 26 mai 2017

Il faut bien s'a-musée !







jeudi 25 mai 2017

Se coucher tard, nuit !


mercredi 24 mai 2017

Les Cathédrales

RODIN / KIEFER


EUROPE en Marche !