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samedi 12 avril 2014

Le printemps arabe est une grosse merde d'intégristes qui a bien arrangé notre émotivité politique !

Ce n'est pas moi qui le dit, si c'était moi vous croiriez que je fais de la provoc. Le printemps arabe c'est le wahabisme de merde qui est imposé partout, wahabiste criminel imposé et financé par le quatar et l'arabie saoudite. Pays où on coupe les mains des voleurs en public, où l'on se repaît des têtes tranchées au sabre sur la place des cités, où l'on cultive la haine des femmes. Un fond souverain du quatar a acheté le PSG pour 40 millions d'euros. Donc ce fascisme ne concerne pas que les arabes ! Le printemps arabe est à la liberté ce que le PSG avec ses joueurs de merde est au sport : frics et dictatures. Le printemps arabe n'est pas une révolution. C'est Rachid Boudjedra qui l'écrit dans son dernier roman : 
Printemps. 
Ce roman est l’histoire de deux femmes, l’une algérienne et l’autre espagnole. C’est aussi une histoire de destin, dans lequel on perçoit les conséquences du “printemps arabe”, et les révolutions.  Selon Rachid Boudjedra, “ces révolutions  ne le sont pas. Ce sont des émeutes tout bêtement, stupides dont on a vu le résultat aujourd’hui”. Ce roman a été inspiré par “les émeutes d’octobre 88”. “J’ai commencé à écrire ce livre, il y a deux ans. J’ai pris pour exemple et  point de départ les émeutes d’octobre 88. D’ailleurs, j’ai déjà consacré un roman à cet évènement ‘le Désordre des choses’”, a-t-il souligné. Et d’ajouter : “On retrouve  l’histoire à travers seulement les Unes des journaux et la radio ; il n’y a ni analyses, ni explications, après on se rend compte que ce printemps n’est pas un printemps, c’est une régression terrible”. Dans son roman, Rachid Boudjedra aborde des sujets qui sont plutôt philosophiques et métaphysiques. Printemps traite aussi le sujet du dialogue entre les religions, car “on nous rabâche beaucoup les oreilles sur le fait que les civilisations se complètent, qu’elles s’adorent, comme l’islam et le christianisme, c’est faux ! Les chrétiens haïssent les musulmans, et les musulmans haïssent les chrétiens, et les juifs haïssent les musulmans, et les musulmans haïssent les juifs. C’est la réalité fondamentale, dont les hommes politiques essayent de nous berner”. Revenant au personnage principal du roman Printemps, Rachid Boudjedra nous a annoncé que le livre raconte l’histoire d’une fille d’Arris, née un 1er janvier où il neigeait beaucoup, c’est pourquoi son papa l’a prénommé Theldj. Alors qu’elle n’avait que huit ans,  sa maman (sage-femme),  a été égorgée pendant la décennie noire. “C’est une histoire vraie”, a-t-il indiqué. Le roman est aussi l’histoire d’une fille qui a eu une enfance malheureuse et qui va “essayer de se défendre pour une vie un peu différente”. Rachid Boudjedra a indiqué avoir écrit ce roman car “J’en avais besoin, parce que j’avais envie. J’aime les marginaux, qui souffrent, et qui sont mal vus par les sociétés”.

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